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Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique France
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Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique Banques, English, Leverage
Like all companies, banks finance their assets by equity and liabilities. Alan Grenspan enacted in the 80’s Tier 1 ratio Rule for the banking system: the amount of capital must be greater than 8% of the total debt, its inverse is the leverage to be less than 12.5.
After the financial turmoil he increased this ratio to 10%, i.e. a leverage of up to 10.
After the bursting of the Internet bubble, Alan Grenspan dictated to companies to recognize any goodwill in losses and in full instead of amortizing it over 20 years, which restored fundamentals and GDP growth.
These two rules must be applied to determine the current real leverage of real capital: tangible assets (excluding minority interests).
Table of real leverage ratio and Tier 1 for 28 Systemically Important Financial Institutions (SIFIs),
Document 1:
Document 2:
Banks in the United States in blue, French Gos banks in red, Switzerland’s banks in orange, banks under Bank Of England in light green, other European bank in dark green s, Asian banks in… yellow.
The graph shows that European banks leverage is the most dangerous, especially Crédit Agricole (CASA) and Deutsche Bank,
Document 3:
Major European banks do not follow the rules of prudential borrowing. The interbank market in the euro zone does not work. The ECB has to replace the market to avoid a banking tsunami that threatens the world.
Rank | Banks 2013 Q2 | Liabilities | Tangible equity | Leverage | Core Tier 1 |
---|---|---|---|---|---|
1 | Citigroup | 1 721,61 | 162,382 | 10,6 | 9,4 |
2 | Wells Fargo | 1 317,77 | 122,796 | 10,7 | 9,3 |
3 | Goldman Sachs | 871,651 | 66,349 | 13,1 | 7,6 |
4 | Bank of America | 1 976,46 | 146,861 | 13,5 | 7,4 |
5 | Bank of China | 12 406,23 | 849,978 | 14,6 | 6,9 |
6 | Morgan Stanley | 754,178 | 146,861 | 14,7 | 6,8 |
7 | JP Morgan Chase | 2 289,77 | 149,977 | 15,3 | 6,5 |
8 | State Street | 213,633 | 13,667 | 15,6 | 6,4 |
9 | Standard Chartered | 611,289 | 38,668 | 15,8 | 6,3 |
10 | Unicredit Group | 837,918 | 51,714 | 16,2 | 6,2 |
11 | BBVA Bilbao | 583,177 | 35,326 | 16,5 | 6,1 |
12 | HSBC | 2 501,10 | 144,217 | 17,3 | 5,8 |
13 | Royal Bk of Scotland | 1 160,05 | 56,183 | 20,6 | 4,84 |
14 | Bk New York Mellon | 343,486 | 16,336 | 21 | 4,76 |
15 | Mitsubishi UFJ FG | 223 921 | 10 578 | 21,2 | 4,724 |
16 | Sumitomo Mitsui FG | 140 069 | 6 608 | 21,2 | 4,718 |
17 | ING Bank | 1 093,72 | 49,881 | 21,9 | 4,6 |
18 | Nordea | 596,629 | 25,267 | 23,6 | 4,2 |
19 | Santander | 1 175,70 | 47,421 | 24,79 | 4 |
20 | Banque Populaire CE | 1 647,67 | 63,923 | 25,8 | 3,9 |
21 | Credit Suisse | 886,055 | 33,848 | 26,2 | 3,82 |
22 | BNP Paribas | 1 837,63 | 69,657 | 26,4 | 3,79 |
23 | UBS | 1 088,65 | 40,426 | 26,9 | 3,7 |
24 | Mizuho FG | 168 803,10 | 5 889,71 | 28,7 | 3,5 |
25 | Société Générale | 1 209,68 | 36,618 | 33 | 3 |
26 | Barclays PLC | 1 495,70 | 37,034 | 40,4 | 2,5 |
27 | Deutsche Bank | 1 867,29 | 42,592 | 43,8 | 2,3 |
28 | Crédit Agricole SA | 1 758,74 | 26,164 | 67,2 | 1,5 |
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : PMI manufacturier France : ça empire (octobre)
Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique France
Tout va bien en France : l’indice manufacturier PMI (Markit) (qui est un indicateur précurseur fiable de l’activité économique) baisse en octobre à 47,8 % de plus en plus sous la barre critique des 50 %,
Document 1 :
Seuls les experts en manipulations de chiffres de l’Insee peuvent encore justifier une croissance et les hommes politiques au pouvoir (et leurs affidés) s’en féliciter.
Document 2 :
Cet indice est en hausse en Allemagne et aux Etats-Unis.
C’est le triomphe de l’exception française.
Tout va bien en France car il n’y a toujours pas eu de tsunami bancaire.
Cliquer ici pour accéder aux données de Markit Economics.
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : Gos banques, nomenklatura et zone € : la manip
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : Banques, leverage et Greenspan pour les nuls (Gos banques et AMF)
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : L’AMF, la Générale et moi : émoi…
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : Balance des paiements (septembre) : crise et déficits, suite…
Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique France
La Banque de France a publié les chiffres de la balance des paiements du mois de septembre 2013. Tout le monde devrait en parler car c’est très important…
La balance des transactions courantes qui synthétise le résultat de l’ensemble des activités courantes d’une nation vis-à-vis du reste du monde montre une dégradation étonnamment régulière depuis que la Banque de France publie ces chiffres, c’est-à-dire depuis le début de l’euro-système, quelle que soit la couleur du gouvernement avec un déficit de 3,9 milliards d’euros pour ce dernier mois…
Document 1 :
… soit 230,5 milliards d’euros de déficits cumulés depuis 2005, nouveau record !
Document 2 :
Ces déficits sont causés essentiellement par ceux de la balance commerciale : 5,8 milliards d’euros pour ce dernier mois contre des excédents de 18,9 milliards pour l’Allemagne !
Document 3 :
Le déficit est de l’ordre de 60 à 65 milliards d’euros en moyenne sur les 12 derniers mois,
Document 4 :
Depuis juin 2004, le cumul des déficits des biens seuls atteint un nouveau record historique de 450 milliards d’euros !
Document 5 :
Les déficits de la balance commerciale s’expliquent en grande partie par l’euro fort.
Comme la France n’est plus compétitive vis-à-vis de l’étranger et que la crise s’accentue en France et dans ces autres cochons de pays du Club Med, les entreprises étrangères n’investissent presque plus en France et les entreprises françaises n’investissent presque plus à l’étranger, la tendance du déficit des IDE (Investissements Directs Etrangers) se poursuivant depuis l’adoption de l’euro,
Document 6 :
Les déficits cumulés des Investissements Directs Etrangers sont de l’ordre de 600 milliards d’euros depuis l’adoption de l’euro,
Document 7 :
Au total, ce sont donc plus de 1 000 milliards d’euros de déficits qui se sont accumulés depuis ces dernières années.
Avant, du temps du système de Bretton Woods, tout le monde, de la ménagère au président de la République, savait que les déficits de la balance commerciale allaient entrainer une dévaluation, ce que s’est empressé de faire Pompidou juste après son élection (une dévaluation de 12,5 % le 8 août 1969), ce qui a permis de prolonger la croissance jusqu’à la fin des 30 Glorieuses.
Maintenant, plus, personne ne comprend ces problèmes économiques simples.
C’est avancer les yeux fermés au bord du gouffre.
Pour terminer joyeusement : notons que les grosses têtes de la Banque de France n’ont que 3 milliards d’euros en trop dans leurs comptes !
Document 8 :
Cliquer ici pour voir la page des données de la Banque de France sur la balance des paiements
Cliquer sur le lien pour lire normalemet cet article sur mon site et pour les commentaires : Croissance… négative en France
Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique France
La croissance du PIB réel en France a été… négative de – 0,6 % au 3° trimestre par rapport au précédent en taux annualisé,
Document 1 :
Elle est en chute plongeante mais encore positive d’une année sur l’autre à + 0,17 % mais elle tend vers zéro,
Document 2 :
C’est la croissance zéro, négative pour les dépenses des ménages depuis 3 années pleines,
Document 3 :
Pour ce dernier trimestre, c’est surtout la détérioration du commerce extérieur qui est inquiétante : les importations ont augmenté de 1,3 milliard d’euros alors que les exportations ont baissé de 1,9 milliard, cf. mes analyses à ce sujet.
L’Amérique vient de donner une bonne leçon de monétarisme : moins de dépenses publiques, c’est plus d’argent dans les poches des consommateurs, donc une hausse de la demande et en conséquence de l’offre, c’est-à-dire une croissance positive du PIB,
Document 4 :
Tout est simple.
Il faudrait qu’il y ait en France un Tea Party, des Reaganomics…
Milliards | PIB | Ménages |
---|---|---|
2010T4 | 446,4 | 254,2 |
2011T1 | 451,3 | 255,1 |
2011T2 | 451 | 252,6 |
2011T3 | 452,2 | 253,2 |
2011T4 | 452,9 | 252,4 |
2012T1 | 453 | 253 |
2012T2 | 451,5 | 251,7 |
2012T3 | 452,2 | 252 |
2012T4 | 451,5 | 252,2 |
2013T1 | 451,2 | 252 |
2013T2 | 453,7 | 253,2 |
2013T3 | 453 | 253,5 |
Cliquer sur le lien pour lire cet article sur mon site et pour les commentaires : Taux (leçon de monétarisme)
Rédigé par jp-chevallier dans la rubrique Etats-Unis, Monétarisme
Les Américains nous donnent encore une bonne leçon de monétarisme… Euh, ou moi…
Après avoir fait un certain nombre de grosses erreurs, surtout de la part des dirigeants de la Fed et des Démocrates au pouvoir, l’inflation s’est emballée à la fin des années 60 et surtout au début des années 80,
Document 1 :
Heureusement les Reaganomics ont redressé la situation au point qu’à la fin des années 90 l’inflation est revenue dans la zone optimale comprise entre 1,0 et 1,5 % (il faut un peu d’inflation pour ne pas risquer de tomber en déflation, mais pas trop).
Les rendements des Notes à 10 ans sont au sommet de la hiérarchie des taux, ou plus exactement, leurs rendements réels, c’est-à-dire déflatés.
Le niveau critique de ces taux réels est de 3 % : au-dessus, les investisseurs ont intérêt à placer leurs capitaux dans l’obligataire public (ce qui ne crée pas de valeur), en dessous, ils ont intérêt à investir dans des actions plus rémunératrices, ce qui crée de la valeur pour tout le monde,
Document 2 :
La période noire aura donc été celle de 1980 à 2000 au cours de laquelle les Reaganomics ont lutté contre l’inflation. Avant et après cette période, la situation aura été optimale, mais avec une inflation potentielle létale dans les années 70.
Le graphique représentant les courbes exponentielles de tendance d’ordre 5 montre clairement que lorsque les rendements réels des Notes à 10 ans sont bas et inférieurs au taux de croissance du PIB réel, cette croissance est forte, et inversement,
Document 3 :
La période la plus récente, en ce XXI° siècle, montre la très grande réussite des gens de la Fed qui ont réussi à briser les cycles infernaux antérieurs en maintenant les rendements des Notes à 10 ans sous le niveau des taux du PIB, ce qui est une situation optimale, sans inflation présente ni potentielle, pour la première fois depuis l’après-guerre.
Tout est simple.